dimanche 3 août 2008

Wall-e

Hier, de nouveau une petite toile, pour aller voir le dernier chef d'oeuvre des studios pixar : Wall E.
Alors là, je vous l'dis, allez y ! Courez y ! On craque face à ce petit robot (qui a quand même des airs de Johnny 5 mais bon....).


Sur une Terre dévastée par la pollution, Wall-E est le dernier représentant d'une armada de robots qui étaient chargés de concasser les débris laissés par les hommes qui sont partis dans l'espace à bord de vaisseaux gigantesques le temps que la planète soit nettoyée.
Accompagné de son ami cafard, Wall-E oeuvre donc à sa mission et dresse des buildings de cubes d'objets. Wall-E découvre alors parmi les débris une petite plante qu'il se dépêche de mettre à l'abri parmi ses "trésors" qu'il entrepose dans son abri. Retournant à son travail, il assiste à l'atterrissage d'un vaisseau qui laisse là, E.V.E., un robot nettement plus développé que Wall E. E.V.E. a pour mission de retrouver toute trace de vie sur Terre afin d'indiquer aux humains, partis depuis 700 ans, qu'ils peuvent revenir.
La clef de l'odyssée de Wall E et E.V.E., c'est la petite plante puisqu'aussitôt qu'elle la voit, E.V.E. la sauvegarde et retourne à bord du vaisseau des hommes, l'AXIOM. Wall E, tombé sous le charme d'E.V.E. la suit.
Sur l'AXIOM, les hommes sont obèses et ne se meuvent que sur des fauteuils sur électro statiques.
Grâce à l'intervention de Wall E, d'E.V.E. et de nombreux autres robots du vaisseaux, les hommes vont prendre conscience de la richesse et de l'espoir que représente la petite plante et finissent par retourner sur Terre.

Outre l'animation qui est sensationnelle, on s'attache très rapidement au petit Wall E et E.V.E. et on est très vite pris par l'histoire également.
On retrouve dans ce film de nombreux clins d'oeil à Chaplin mais aussi à 2001 l'Odyssée de l'espace.
Et, bien entendu, on n'est pas insensible au message écologique.

Un conseil, essayez d'aller aux séances qui diffusent le petit court métrage avant le film. Il vaut son pesant d'or... euh, non de carottes, je devrais dire. lol

Hancock

En cette semaine riche en nouveaux films, je n'ai pas hésité à aller me faire quelques toiles.


La première : Hancock, avec Will Smith.
Super-héros alcoolique qui n'a que faire de son image de marque auprès des citoyens de Los Angeles qu'il s'évertue à sauver, Hancock croise le chemin d'un chargé de communication à la dérive qui va l'aider à redorer son blason, notamment à l'obligeant à aller en prison pour payer tous les dégâts qu'il a engendrés. La criminalité montant en flèche en son absence, Hancock est sollicité par la police pour contrecarrer les plans de gangsters, ce qu'il fait, affublé de son nouveau costume noir. Mais d'autres surprises l'attendent puisqu'il découvre que la compagne de son ami, dont il se sent terriblement attiré, est comme lui, dotée de pouvoirs. En fait, elle lui révèle qu'ils sont les deux derniers membres d'une espèce qui a donné les héros et dieux mythologiques et qu'ils sont.... époux. Un autre hic, quand ils sont ensemble, ils deviennent mortels. D'où des conséquences assez désastreuses.
Mais je ne vous en dis pas plus, au cas où vous iriez le voir.

Le jeu des acteurs est pas trop mal pour un film de ce genre et on ne s'ennuie pas.
J'ai particulièrement apprécié le côté psychologique des personnages, notamment des deux anciens héros surhumains qui veulent s'intégrer dans la société. Sympa.
Donc à voir.