mercredi 27 août 2008

Wonder-Woman

Créé en 1940 par William Moulton Marston pour DC Comics, le personnage de Wonder-Woman est le premier super-héros féminin qui bénéficie de sa propre parution dès décembre 1941.


Diana Prince est la fille de la reine Hippolyte des amazones. N'ayant pas d'enfant, la reine Hippolyte crée sa fille à partir de l'argile de l'ïle Thémyscira, île des amazones. Les dieux grecs la dotent de capacités surnaturelles : la possibilité de voler, l'intelligence, la force.
Après que Diana Trevor se soit écrasée sur l'île des amazones, les ouvrant au monde des hommes, ces dernières décident d'envoyer une ambassadrice parmi les mortels. Pour cela, elles organisent un tournoi que Diana remporte. Équipée d'un lasso magique, de bracelets lui permettant de repousser les balles de revolver, de la capacité de voler, elle devient l'ambassadrice des amazones auprès des humains.
Si dans les premières versions, elle est amoureuse du beau Steeve Trevor, la version la plus récente insiste sur sa personnalité et son rôle d'ambassadrice, sans qu'elle connaisse d'idylle avec Trevor, mais avec d'autres hommes, dont Superman.
Proche de Superman, de Batman et des autres membres de la Justice League, Wonder-Woman se bat pour la justice de part le monde au même titre que ces autres héros et s'allie à eux dans des conflits les impliquant tous, jusqu'à donner sa vie.
Archétype de la superhéroïne par excellence, Wonder-Woman est affrontée à des ennemis très variés : de Cheetah, son adversaire par excellence, à son pire ennemi, le dieu de la guerre, Arès.

dimanche 24 août 2008

Dijon

Hier, découverte rapide, mais fort agréable parce qu'en excellente compagnie, du centre de Dijon.
Balade donc, dans les rues étroites et sinueuses du Dijon hist
orique.
Découverte des nombreux hôtels particuliers construits du 16e
au 19e siècle pour nous avancer doucement jusqu'au palais ducal, aujourd'hui en partie Hôtel-de-Ville et Musée des beaux -arts, doté d'une bibliothèque ouverte aux chercheurs. Elle va bientôt être transférée dans l'ancienne église Saint-Etienne.

Après nous être garés dans la cour d'un bel hôtel particulier, nous empruntons la rue de l'Ecole de Droit . Première tourelle et façade aux boiseries rouges (étoiles 1 et 2).



Nous arrivons devant la Cour d'Appel de Dijon (3). A remarquer le portail ainsi que le vitrail dont les volutes feraient assez penser à des triskels.






Adjacent à la Cour d'Appel, voici l'hôtel Legouz de Garland qui s'est fait construire ce bel hôtel particulier après 1680, sans doute par l'architecte Martin de Noinville, architecte de la Place Royale dont la cour de l'hôtel s'inspire. La façade arrière de l'hôtel présente une succession de belles tourelles (4), toutes quatre différentes les unes des autres. Quant à la cour en hémicycle, non seulement son agencement est admirable mais c'est surtout la sculpture en drapé (5) au dessus de la porte d'entrée qui est à remarquer.
Juste avant l'entrée de l'hôtel, à voir aussi les sculptures des linteaux (5) de fenêtres d'une boutique située au début de la rue Vauban. Cette belle rue légèrement en pente aboutit sur la place de la Libération, parvis du Palais ducal qui abrite l'Hôtel-de-Ville, le Musée et la bibliothèque des beaux-arts de Dijon ainsi que les archives municipales.

Le Palais des Ducs de Bourgogne que l'on peut admirer aujourd'hui est un enchevêtrement de diverses constructions s'étalant du XIVe au XIXe siècle. Sur la place de la Libération, les façades classiques construites aux XVIIe et XVIIIe siècles sont dominées par la Tour Philippe Le Bon, de 46 mètres de haut et érigée au XVe siècle (6, 7 et 8).

A remarquer, la statuaire, notamment la belle Minerve en façade de l'Hôtel-de-Ville.












De la cour de l'Hôtel-de-ville, on accède, par l'arcade de droite, au Musée des beaux-arts. Là, bien que ce soit sous les bâches, on peut admirer la Tour de Bar (9), ainsi que le bâtiment des cuisines, toute datant du XVe siècle.


En sortant, on peut admirer, le théâtre de Dijon (10), ainsi que les églises Saint-Michel (12) et Saint-Etienne (11) (futur emplacement de la bibliothèque du Musée des beaux-arts).
Prenons la rue à gauche et contournons le théâtre de Dijon. Nous nous retrouvons place de la Sainte-Chapelle, emplacement dégagé d'une ancienne église où sera bientôt située la quatrième entrée du Musée des beaux-arts de Dijon. à, quasi insignifiante, une plaque de marbre (13) indique qu'on foule l'emplacement de l'ancien castrum romain rappelant ainsi l'antiquité de la ville de Dijon.
En continuant notre chemin, nous sommes désormais derrière la palais ducal, en plein coeur du quartier historique de la ville. Je ne sais où regarder tellement les façades sont belles, avec leurs colombages, leurs sculptures et leurs tourelles (14).

De là, on arrive à l'église Notre-Dame de
Dijon. Tout bonnement magnifique. Bon, ok, je vous bassinerai pas avec l'église... même si vous connaissez maintenant ma fascination pour ces monuments.


L'église Notre-Dame de Dijon est tout bonnement superbe. Quand on voit cette église, et le quartier, on comprend pourquoi Dijon a été surnommée "la ville au Cent clochers". Sa façade, agrémentée de trois rangées de gargouilles et d'un balcon fait penser à certaines façades baroques mais dans un style gothique. Enfin, elle est typique des églises enfermée dans l'urbanisme environnant. L'intérieur ne frappe pas par son originalité puisque son plan est classique pour une église gothique. Seulement, il émane de son atmosphère une sérénité, une piété qui incite si ce n'est à la prière, au moins au repos. Ses vitraux, ses fresques découvertes, sa statuaire sont quand même à apprécier.








Après l'église Notre-Dame, endroit inévitable de Dijon : la Chouette. Posez la main gauche sur cette petite statue et faites un voeu. Il sera exaucé.... on verra bien. lol
En tout cas, en empruntant la rue de la Chouette et la rue de la Verrerie, on plonge directement dans le Moyen-Âge et la Renaissance, avec de nouveaux hôtels particuliers superbes et ces belles maisons à encorbellement et façades sculptées de petites scènes marrantes comme cet archer qui vise un lapin (17 à 19).











De là, on retrouve le théatre de Dijon et l'église Saint-Etienne en empruntant la rue Lamonnoye pour rentrer... la pluie s'annonçant.
Ce qui m'a pas empêché de piquer une petite tête quand même en rentrant. Na !!! (remarquez les malformations dues à tous les produits mis dans cette eau turquoise....) mdr


En tout cas, ce fut une belle journée. Bises



jeudi 21 août 2008

Saint Seiya 20

Kassa des Lyumnades

Voici la dernière Myth Cloth que je viens d'acquérir, celle du général de l'océan Antarctique, Kassa des Lyumnades.
Après avoir battu Hyoga du Cygne et Seiya de Pégase en se faisant passer pour Camus du Verseau, maître de Hyoga, et pour Marine, maître de Seiya, Kassa tente d'abattre Shun d'Andromède sous l'apparence d'Ikki, son frère. Mais la chaîne d'Andromède permet à Shun de se défendre. Cependant, touchant à la sensibilité du saint de bronze d'Andromède, Kassa réussit presque à le battre. Mais c'est sans compter sur Ikki du Phénix qui entre ainsi dans le jeu.
Kassa essaie bien de l'amadouer aussi en se faisant passer pour Shun. Mais c'est sans compter sur la froideur d'Ikki. Cependant au moment de mourir, Kassa réussit à percer le coeur du Phénix et à découvrir la seule personne qui aurait pu lui permettre de le battre : Esmeralda, le seul amour d'Ikki.

Avec cette myth cloth, j'ai désormais tous les généraux des mers en figurines. Cool, hein ? (enfin, pour ceux qui aiment aussi. mdr)
Par contre, bizarrement, rien sur les Lyumnades. Il semblerait qu'il s'agisse d'une sorte de salamandre capable de se transformer et d'ainsi attirer ses victimes... Mais bon, pas moyen de vérifier.
Bizarre, pour une fois, le mythe d'un personnage de Kurumada est mystérieux...

mercredi 20 août 2008

Portrait 2008 10


Pour changer un peu, voici un portrait de couple à l'encre de Chine.
Quelques traits jetés et des lavis noirs m'ont permis de cernés ces deux beaux jeunes hommes.
Pour vous.

dimanche 17 août 2008

Mon pti frère

Je me souviendrai sans doute longtemps de ce week-end du 15 août de l'année 2008. En effet, j'ai passé pas mal de temps avec mon jeune frère, Antoine, de dix ans mon cadet. Hier, nous sommes allés faire un tour en vélo le long de la Seine (promis, vous aurez droit à une ptite balade photo des berges de la Seine du pays melunais). Comme ça me taraudait depuis bien longtemps et que la conversation s'y est prêtée, je lui ai dit que j'étais gay. Ben, figurez vous que ce pti con s'en doutait depuis plus d'un an mais qu'il voulait pas m'en parler avant que je n'aborde, moi, le sujet ! Ptain, si j'avais pas été à vélo, j'l'aurais serré dans mes bras et j'lui aurais fait un gros poutou !


Merci à toi, Antoine, d'avoir eu cette réaction. Je suis fier de toi.

samedi 9 août 2008

Saint Seiya 19

On pourra dire que j'ai attendu pour l'avoir celle-là ! Ben voilà, c'est chose faite ! Voici donc la dernière myth cloth Saint-Seiya que j'ai achetée : Seiya en Kamui de Pégase.


Face à Thanatos, dieu de la mort, qui détruit les armures de bronze, puis les armures d'or, les saints de bronze, désespérés, voient apparaître sur eux de nouvelles armures : les kamuis. Les kamuis sont les armures divines portées par les dieux de l'Olympe. Elles représentent le degré ultime de l'évolution d'une armure.
Pour l'instant, seul celle de Pégase a été réalisée. Elle est très
belle bien qu'un peu trop fine à mon goût et avec un peu trop de plastique.
Mais bon, j'attends quand même avec hâte la suivante. lol

balade photo 5

Jeudi soir, balade dans le quartier de la Bibliothèque François-Mitterrand (BMF) et du parc de Bercy, avec mon pote Patrice.
Je ne connaissais pas du tout ce quartier et j'ai été enchanté par la diversité architecturale du nouveau quartier du 13e arrondissement. Ça donne vraiment envie d'aller y vivre. Entre des tours, qui restent à échelle humaine, de différentes formes et couleurs, d'habitation, de bureau ou d'étude, serpentent des rues propres et des jardins cachés.

La réhabilitation d'anciens bâtiments industriels, comme les anciens Grands Moulins de Paris ou l'usine d'air comprimé, ajoute à ce quartier un charme post industriel qui donne espoir en une reconversion de nos mégapoles en des centres de vie, presque des villages urbains, qui enjoliveraient la vie trépidante des Parisiens et autres habitants de grandes villes.

Entre les Grands Moulins et l'Usine d'air comprimé, on découvre des bâtiments qui seront sans doute plus tard recouverts par la végétation. Deux ailes encadrent un jardin. Cet ensemble a aujourd'hui un aspect post apocalyptique d'un bâtiment qui aurait été en partie détruit et recouvert d'une végétation sauvage et luxuriante. J'ai adoré !
En remontant vers la BFM, on ne sait plus où donner de l'oeil tellement il y a variété d'immeubles et de bâtiments de tous genres et de toutes couleurs. Ça va de l'immeuble vert avec des façade à motifs végétaux au bâtiment adjacent orange, en passant par l'immeuble de trois étages style art déco et la tour en verre. C'est vraiment superbe.

Après une petite halte à la terrasse d'un café, durant laquelle j'ai fait un pti malaise mais sans en rien montrer à Patrice qui se serait inquiété pour rien, retour à la BMF.
Entre les quatre tours de verre figurant des livres ouverts, s'étale l'esplanade de bois exotiques sur laquelle il est franchement agréable de se poser par ces journées ensoleillées (un conseil, posez vous à l'ombre d'une tour sinon vous cuisez, ou alors pensez à prendre du beurre pour pas accrocher....). Au coeur de l'esplanade, une immense ouverture donne sur un espace vert qui se veut une reconstitution d'une forêt de pins telle qu'on en voit à Fontainebleau. Dommage que les arbres y soient abîmés mais ça doit pas être trop mal d'étudier avec vue sur ce sous-bois.

De là, nous avons pris la passerelle Simone-de-Beauvoir qui permet de rejoindre le parc de Bercy afin de me rendre la station Cour St Emilion pour reprendre la 14.

Dépaysement total !
On arrive dans une zone de verdure, ponctuée de cascades et des points d'eau. Frais et ombragés, vraiment très agréable par ces journées de chaleur, une succession de jardins thématique permet au promeneur d'oublier qu'il est au coeur de Paris : zone de jeu, parc fleuri, vignoble, orangerie, palmeraie, bosquets d'arbres et de fleurs, étangs et mares. Le tout ponctué de statues et sculptures, de fontaines et treilles, rappelant de ci de là le passé industriel des lieux puisque cet endroit était le centre des vins pour la capitale.
En traversant le parc, on arrive à la station Cour St Emilion qui donne sur Bercy village, qui est en fait les anciens magasins de stockage des futs et tonneaux de vins. Aujourd'hui, tout cela a été reconverti en boutiques et restaurants pour en faire une galerie marchande.

En tout cas, je ne peux que vous conseillez ce parc qui est vraiment superbe.