dimanche 25 mai 2008

Saint Seiya 9


Le bronze saint du Phénix, Ikki, est le frère de Shun, bronze saint d'Andromède... dans le dessin animé vu que dans le manga, les bronze saints sont tous frères avec pour unique père le grand-père de Saori... Vu comment c'est tordu, on peut comprendre qu'ils l'aient enlevé dans le dessin animé et que seul Shun soit considéré comme son frère. Ce qui est vrai en fait vu qu'ils ont la même mère.

Ikki est envoyé sur l'Île de la Mort à la place de Shun. Là, sous l'enseignement du maître Guilty, il s'entraîne et finit par gagner l'armure du Phénix... en tuant son propre maître après que celui-ci ait tué par accident Esmeralda, sa propre fille, dont Ikki était épris.
Profondément bouleversé, le cerveau littéralement lavé, Ikki s'attaque à Saori et aux bronze saints lors du tournoi galactique pour s'emparer de l'armure d'or du Sagittaire, aidé par les chevaliers noirs. Mais, lorsque le Sanctuaire attaque Saori et les bronze saints, Ikki s'allie à eux et se bat désormais à leurs côtés.
Lors de la Bataille du Sanctuaire, il se bat contre Shaka de la Vierge, qu'il avait déjà rencontré sur l'Île de la Mort. Lors du combat le plus phénoménal de la Bataille, il finit par battre le saint d'or qui réussit à ressusciter avec l'aide du bronze d'or du Bélier. De retour, Ikki va alors aider Seiya à battre Saga, saint d'or des Gémeaux qui avait usurpé l'identité du Grand Pope.
En Asgard, Ikki se bat et remporte la victoire contre Mime de Benetnash, guerrier divin d'Eta.
Lors de la Bataille contre Poséidon, Ikki se bat contre le général Lyumnades et contre le Dragon des mers qui se révèle être le frère jumeau du saint d'or des Gémeaux. Aux côtés de ses compagnons, il battra Poséidon.
Mais c'est lors du chapitre d'Hadès que le personnage révèle le plus profond de sa personnalité. En effet, frère de Shun, réincarnation d'Hadès, il se bat pour sauver son frère des griffes du dieu des Enfers. Face à Pandora, il n'hésite pas à la frapper. Se rendant compte qu'elle a été manipulée aussi par Hadès, elle aidera Phénix à se rendre en Elysion pour sauver Athéna. D'ailleurs, lorsqu'il se retrouve face à Thanatos, le dieux de la Mort, il déclare lui-même être là pour venger les victimes d'Hadès, dont Pandora. Il est alors revêtu de l'armure d'or du Lion, ce qui laisserait sous-entendre qu'il pourrait devenir le nouveau saint d'or du Lion... ce qui ne semble pas être le cas puisqu'il n'apparaît pas comme tel lors du dernier film qui oppose les bronze saints aux guerriers de Diane. Là, il se bat aux côtés d'Andromède face à Odysseus et avouera alors à Shun, lors d'un passage particulièrement beau, qu'il n'a jamais douter du courage de son frère et qu'il sera fier de mourir à ses côtés.

En ce qui me concerne, après Shun, Ikki est un de mes personnages préférés de ce manga. Non seulement par sa noirceur, son cynisme quelque fois, mais aussi par sa puissance et son courage.

samedi 24 mai 2008

Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal


Cet après-midi, petite toile. Le dernier Indiana Jones, Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal.
Bon, franchement, il restera pas le meilleur des quatre films. Mais il est quand même très sympa.
On y retrouve un Indy vieilli de près de vingt ans après le dernier opus puisque le film se déroule en 1957.
Là, Indiana Jones est aux prises avec les Soviétiques qui l'utilisent pour retrouver un premier artefact qui les conduira sur la trace du fameux crâne de cristal. (je vais essayer de pas trop vous en dire quand même lol). Un pti conseil, si vous allez le voir, regardez bien partout, il y a plein de clins d'oeil aux épisodes précédents, notamment au premier et au troisième. Mais, disons que ce film est très lié au premier quand même et, donc, il y a plein de références à Indiana Jones et l'Arche perdue.
La principale référence, c'est l'héroïne de cet épisode puisqu'il s'agit de Marion, celle-là même qui conquit le coeur d'Indy dans le premier opus... et il a pas conquis que le coeur à première vue.... lol
Bref, de nouveaux personnages, notamment un Cate Blanchett en méchante scientifique soviétique à couper le souffle tellement elle joue bien. Un pti jeune aussi, qui est pas mal dans son rôle. Pour ceux qui l'auraient vu, c'est l'acteur qui joue dans Transformers.
Quant à la fin, elle est vraiment imprévue... sauf pour ceux qui s'y connaissent un chouille en légendes péruviennes et mayas. Mais elle est bien en lien avec les premiers amours de Steven Spielberg.

Sinon, je ne peux que vous conseiller d'aller le voir pour passer un excellent moment.

jeudi 22 mai 2008

Mariza - Fado

Il y a quelques jours, un de mes potes, le pti Georgeounet pour ne pas le nommer, m'a fait découvrir des chansons traditionnelles de son pays d'origine, le Portugal, à travers le Fado. Certes, je connaissais déjà le Fado mais je ne m'imaginais pas que c'était si beau. Ben vi, j'ai été touché au coeur par le rythme... parce que je comprends rien à ce qui est chanté... snif. Faudrait qu'elles pensent à chanter en français de temps en temps, MDR !!!! Mais bon, je trouverai bien les traductions sur le net.
Voici donc le portrait d'une des plus grandes chanteuses actuelles de Fado : Mariza.

Biographie :
Née le 16 décembre 1976 au Mozambique, Mariza grandit dans la ville de Lisbonne. C’est là qu’elle se découvre une véritable passion pour le fado, musique traditionnelle de son pays d’adoption. Elle commence à se produire sur scène et fait une première apparition télévisée en 1999. Le public découvre alors la chanteuse et sa voix hors du commun. Sa carrière est lancée. Elle livre son premier album, Fado em mim en 2001 et enchaîne avec une tournée mondiale. Suivent les disques Fado curvo (2003), Transparente (2005) et Concert em Lisboa (2006).












Bon, mon pti Georgeounet, je te remercie pour cette découverte. Je t'embrasse et te remercie de ton amitié.

Hokusai

Artiste japonais ayant vécu de 1760 à 1849, Hokusai est sans doute avec son contemporain Hiroshige l'un des artistes nippons les plus connus. Qui n'a jamais vu la Grande Vague de Hokusai ? Son influence est également notoire dans les dessins animés et les mangas japonais qui font le régal de tant de lecteurs.

Hokusai voit le jour dans la banlieue de la capitale japonaise Edo. Adopté par Nakajima Ise, polisseur de miroirs à la cour du Shogun, il sera dès son adolescence employé comme commis dans une bibliothèque de prêt. Cependant, dès 14 ans, il est employé dans un atelier de sculpture. Il reconnaît lui-même, en 1834, qu'il dessine déjà alors.
Alors qu'il n'a pas vingt ans, il est engagé dans l'atelier d'art dirigé par Katsukawa Shunsho, spécialisé dans le portrait d'acteurs du théâtre no. Il abandonne ce thème dès le début des années 1790 et semble disparaître du monde des arts.
Il réapparaît en 1796 lorsqu'il offre ses premières estampes signées de son nom à des amis pour le Nouvel An. En 1797, apparaît sa première estampe consacrée à la vague qui lui vaudra sa gloire. Sa renommée et sa réapparition sont liées à l'édition de ses estampes dans des albums "de luxe" ainsi qu'à sa participation à des oeuvres collectives.
Dès le début du XIXe siècle, il commence à explorer deux nouvelles voies dans son art : l'illustration de romans feuilletons et l'utilisation de certains aspects de la peinture occidentale tels que la perspective et les effets de clair-obscur. C'est ce subtile mélange entre les techniques traditionnelles japonaises et occidentales qui lui vaudront sans doute cet accueil enthousiaste de la part de l'Occident.
En 1810, il se décide à définir son propre style particulier, sans doute après un voyage à Nagoya. Il y réalise de nombreux croquis qui seront réunis en un volume qui aura immédiatement un succès immense : la Manga, premier de nombreux volumes dans lesquels sont illustrées la vie quotidienne des Japonais, la nature, les dieux, l'histoire.
En 1820, il revient à ses premiers amours et réalise des estampes de surinomo, notamment une série illustrant des poèmes consacrés au thème des coquillages.
Dix ans plus tard, il fait éditer un volume d'estampes consacrées au Mont Fuji. Il remportera un succès immédiat et sera suivi d'autres volumes consacrés aux paysages japonais. Il s'agit des premiers volumes d'estampes de paysage jamais édités.
Un tome sera consacré aux cascades, un autre aux ponts. Il réalisé également des estampes de fleurs, thème traditionnellement chinois auquel Hokusai va apporter le réalisme occidental.
La crise économique qui frappe le Japon à la fin des années 1830 provoque l'arrêt des publications d'estampes.
Traversant une période difficile de sa vie, Hokusai, alors âgé de 80 ans, dessine tous les jours un lion légendaire, shishi, ce qui engendrera une série d'estampes d'animaux constituant un véritable bestiaire.
Il s'éteint en 1849 après avoir réalisé son autoportrait et son dernier dessin : un dragon escaladant le Mont Fuji.

samedi 17 mai 2008

Saint Seiya 8

L'envie m'a pris de dessiner le Gold Saint Shakka de la Vierge. À vrai dire, je le trouve pas trop mal réussi. lol J'espère qu'il vous plaira.

Bises

mardi 13 mai 2008

Débarquement à Cannes

Ah, oui, cette année, je l'avais pas encore croqué celui-là !!!! Et bien voilà, pour commencer, vous avez devant vous un croquis pris sur le vif de la Grande Freda of Paris débarquant à Cannes pour faire de l'ombre aux belles starlettes du festival !!!
A n'en pas douter, elle aura beaucoup beaucoup beaucoup plus de succès qu'elles et, de toute façon, dans nos coeurs, elle aura toujours la palme d'or !!!! Surtout avec sa belle pitite ombrelle... (bizarre l'embout d'ailleurs...)



Voilà, mon pti Fred, j'avais envie de te faire ce pti coucou.... Gros kissous !!!!!!!!!!!!!!

samedi 10 mai 2008

Balade photo 7

Située rue de Turenne, dans le 3e arrondissement de Paris, voici l'église Saint Denys du Saint Sacrement.

Construite par Etienne-Hippolyte Godde, qui est notamment aussi l'aute
ur de la chapelle du Père Lachaise, à l'emplacement de l'hôtel de Turenne, qui a donné son nom à la rue, en 1835, cette église a été placée sous le patronyme du premier évêque de Paris, saint Denis, auquel a été ajouté "du Saint Sacrement", en mémoire des Bénédictines du Saint Sacrement fondatrice du lieu. Elle est typique de l'architecture néo-classique du début du XIXe siècle.
En façade, deux niches de part et d'autre abritant les statues de saint Pierre et saint Paul encadrent un fronton triangulaire décoré d'un bas-relief sculpté par J-J Feuchères représentant les vertus théogonales : la Foi, au centre, l'Espérance et la Charité.

Passant les quatre colonnes ioniques, on peut apprécier les caissons du plafond du péristyle ainsi que les sculptures encadrant l'horloge située au dessus de la porte monumentale de l'entrée.
Entrons maintenant.
On est alors saisi par l'atmosphère particulier de cette église. La nef en abside avec ses colonnes apporte une sérénité que j'ai rarement rencontré ailleurs.
Comme
d'habitude, je me suis surtout intéressé aux vitraux et tableaux. Saint-Denys-du-Saint-Sacrement est en fait surtout connu pour une Piéta peinte par Delacroix en 17 jours. Dans chaque chapelle de l'église, on peut admirer une peinture surmontant une statue. Dans la chapelle de la Vierge, la piéta est située au dessus d'une statue de sainte Geneviève, sainte patronne de Paris.











Les quatre chapelles








Ce qui marque aussi dans cette église, ce sont les jeux de lumière. J'apprécie particulièrement les vitraux dans tous les édifices religieux que je visite et là, j'ai été séduit par quelques un d'entre eux, notamment ceux situées sur les portes d'entrée. Dans chaque chapelle, on peut admirer un vitrail avec une croix central tel que celui-ci, à droite. Une succession de vitraux latéraux présente différentes scènes religieuses. En voici un ci-dessous.


Enfin, certains détails sont très beaux. Comme cet autel dans la chapelle de la Vierge et la bénitier dans la chapelle des baptêmes.

Tout cela pour vous dire qu'il ne faut pas que vous hésitiez à entrer dans cette église, ne fut-ce que pour en admirer l'intérieur.



samedi 3 mai 2008

Balade photo 6

Voici l'église Saint-Paul Saint-Louis qui se situe dans le quartier du Marais, à Paris. Comme je bosse pas loin, j'y ai fait un tour hier et j'ai pris quelques photos... même si, franchement, faut avoir envie d'en prendre quand on est dans cette église....

La première pierre de l'édifice actuel fut posée par Louis XIII en 1627 pour les Jésuites sur des terrains des anciennes fortifications de Philippe Auguste et s'appelait alors "église Saint-Louis de la maison des professes", en référence à la maison des professes qui y était attenante.
La construction durera de 1627 à 1641 sous la direction d' Etienne Martellange et sera poursuivie par le père François Derand qui dessinera la façade.

C'est Richelieu qui y célébra la première messe en 1641. Bossuet y prononça des oraisons et la marquise de Sévigné, qui vivait non loin, y assista à tous les sermons du jésuite Bourdaloue, qui y est d'ailleurs inhumé.
Marc-Antoine Charpentier, Jean-Philippe Rameau, André Campra et Louis Marchand, y exercèrent leur art de la musique sacrée baroque.
Lors des massacres de septembre 1792, cinq curés y furent massacrés. L'église devint alors un temple de la Raison et y centralisera tous les livres saisis dans les différents ordres de la capitale. Le culte catholique y est restauré en 1803, année de son baptême sous le nom d'église Saint- Paul Saint-Louis.

D'inspiration baroque, l'église Saint-Paul Saint-Louis mélange à la fois les styles italiens, par l'abondante lumière et la coupole, le gothique français, par ses proportions très élevées puisque la coupole est à 55 m de hauteur. À noter que son dôme est un des premiers à avoir été réalisé à Paris. Quant à sa façade, elle mélange harmonieusement les influences italiennes, française et hollandaises.

Cet édifice est quand même appréciable par l'abondance d'oeuvres d'art que l'ont peut y voir.
La Vierge de Douleur, de Germain Pilon, dont le modèle en terre cuite est exposé au Louvre, a été réalisée en 1586. Commandée à l'origine par Catherine de Médicis pour faire partie de la rotonde des Valois à la basilique Saint-Denis, elle correspond à la mystique de la Vierge Marie qui a souffert une mission parallèle à celle de son fils. Cette sculpture, considérée comme l'oeuvre maîtresse de l'artiste, innove dans la façon de représenter la souffrance de Marie par le traitement des drapés, les doigts crispés et l'expression du visage.
J'ai particulièrement apprécier cette autre statue sur laquelle j'ai reconnu les emblèmes de Paris. S'agit-il de sainte Geneviève ?
Les deux bénitiers en forme de coquillage situés à l'entrée sont un don de Victro Hugo pour le baptême de sa fille.
Sinon, on peut y voir de nombreux tableaux dont le Christ au Jardin des oliviers de Delacroix ou cette saint Marie-Madeleine.

Vous qui passez par le Marais, allez donc y faire un pti tour. Cette église vaut quand même le coup d'oeil.