mardi 7 octobre 2008

Toi, mon père

Toi, dont je suis issu,
Toi, de qui j'ai beaucoup appris,
Toi, qui, parfois, m'a déçu,
Toi, grâce à qui j'ai souvent ri.

Toi, qui, à ta façon, m'a chéri,
Toi, pourtant, avec qui je n'ai pas souvent joué,
Toi, qui d'un regard bien des choses me dit,
Toi, que toute ma vie j'adorerai.

Toi, qui, aujourd'hui, est diminué,
Toi, que dans mes bras j'ai serré,
Toi, pour qui je me suis aujourd'hui battu,
Toi, désormais, dans ton lit d'hôpital, nu.

Toi dont je suis pourtant fier pour ce que tu as accompli auprès de tous ces gens que tu as soignés et assistés, maintenant, tu es à leur place. Mais nous nous occuperons de toi. Nous veillerons sur toi. Nous t'entourerons de toute notre affection.... jusqu'à la fin. Car cette maladie te ronge désormais et bientôt, elle t'enlèvera à notre amour. Mais nous serons là, avec toi, pour toujours. Et toujours, tu seras là, dans notre coeur.

Toi, mon père,
Que j'aimerai toute ma vie.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Salut mon biquet je suis de tout coeur avec toi sincèrement, que mes meilleurs pensées et sourire de donne un peu de joie, je t'adore, si tu as besoin n'hésite pas dak gros bisous je t'embrasse

georgeounet...

Unknown a dit…

bonsoir Stéphane, je viens de temps en temps regarder ton blog pour les ballades, et je viens de lire ton dernier message. Je suis de tout coeur avec toi et nous le sommes tous les deux avec JY. Nous ne nous connaissons pas beaucoup mais je tenais à te dire que, voilà j'étais là et nous étions là.
dominique